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LES PECHEURS DE POSSIBLES

Les pêcheurs de possibles     ROMAN      Une aventure quantique – En librairie le 12 Mai 2021 –

 


4ème de couverture

Maison d’arrêt d’Orléans, de nos jours. Polo a rejoint la cellule du Vieux Matéo. Après avoir commis un grabuge salutaire au réfectoire et fait ses quinze jours de mitard, il monte une bibliothèque. Les lectures s’avèrent éblouissantes, éclairant la vie d’une bande inénarrable et attachante de détenus-footballers, provoquant des expériences cocasses qui les secouent et les éveillent. Ayant tout leur temps, ils découvrent en observant leur monde (un modèle d’enfermement), qu’il ne peut résister devant l’inventivité et la révélation d’un pur jeu et de ses états quantiques. Leurs croyances s’effondrent et les synchronicités pleuvent, des alliés inattendus surgissent. Une aventure totale qui va mener les pêcheurs de possibles à changer avec ferveur de paradigme et de réalité. L’auteur brosse une galerie de portraits, émouvante et drôle, et une métaphore résolument positive sur la grande mutation humaine en cours, nous plongeant avec jubilation dans la voie de la conscience.

Patrick Fischmannest un auteur dont l’œuvre consiste à rassembler les contes du monde entier pour un réensemencement multiculturel et spirituel. Il a signé seize titres dans la belle collection des Contes des sages aux Éditions du Seuil. Il a également publié des ouvrages en littérature jeunesse et mythologie, enregistré des contes musicaux. Il est aussi chanteur, musicien et compose des chansons.

Après Les Treize jours de l’Aubeet Le Présent du Monde(chez Cavalier Vert), il signe ici son troisième roman initiatique.

 

« Le piège comme toujours aurait été de faire son miel avec les peurs du passé, de craindre que le ciel ne nous tombe sur la tête, ou la comète ou toutes ces choses qui sont déjà tombées. Et de greffer sur les souvenirs d’omelettes, les mêmes œufs au même panier : la fin des haricots, de l’Atlantide, des gros mammouths, surpris en pleine digestion par la tempête glacée. Et d’en vouloir encore dix mille ans à la nature, et assez pour l’abominer, lui chaparder son or, son sang et son pétrole, la griffer, la souiller, l’immoler sur l’autel de la peur des peurs, enfouie et refoulée. Et remettre le couvert avec cette indécrottable candeur humaine, tout en pleurant sur les petits oiseaux, le doigt crispé sur la gâchette. Dès fois que tricoter avec la laine de l’antique cauchemar puisse accoucher d’une nouvelle société. »

« Je me trouvais à l’instant parfait, le scribe de la Voie Lactée. »

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